Instagram serait en train de tester une nouvelle fonctionnalité qui permettra aux utilisateurs de suivre plus facilement les autres sur la plate-forme. Appelée `` Nametags '', la fonctionnalité est censée fonctionner de la même manière que les Snapcodes de Snapchat et permet aux utilisateurs de créer une balise personnalisée de type QR Code que d'autres peuvent scanner avec la caméra Instagram Stories intégrée pour ouvrir, partager ou suivre.
Instagram a confirmé à TechCrunch qu'il travaillait effectivement sur les Nametags après que le code dans l'APK ait fait allusion à la fonctionnalité le mois dernier. Bien qu'il n'y ait pas de délai spécifique pour qu'Instagram déploie des Nametags, cela devrait permettre aux entreprises, aux personnalités publiques et aux stars des médias sociaux de promouvoir plus facilement leurs comptes sur la plate-forme..
Avec le déploiement de la nouvelle fonctionnalité, l'application mobile Instagram aura un bouton de scanner QR sur lequel vous pourrez appuyer pour faire apparaître l'éditeur Nametags. Les utilisateurs auront ensuite la possibilité de choisir parmi une variété d'options d'arrière-plan, y compris les émojis et les filtres de visage de réalité augmentée, avec leur nom d'utilisateur Instagram au centre..
Bien que les utilisateurs n'aient pas la possibilité de partager ou d'analyser les étiquettes de nom pendant la phase de test, TechCrunch dit que le code trouvé dans l'APK indique définitivement que ces options sont incorporées dans la version finale..
Il est important de noter ici que tous les morceaux de code trouvés dans les fichiers APK ne parviennent pas aux versions finales, bien que, dans ce cas, ce sera une énorme surprise si celui-ci fait face à la hache. Avec les Nametags qui semblent bien prêts à prendre les Snapcodes de Snapchat, c'est une chance aussi bonne que toute autre pour Instagram de se présenter davantage comme une alternative viable à Snapchat à un moment où ce dernier fait face à une sorte de révolte des utilisateurs du monde entier..
Vidéo courtoisie: TechCrunch (Josh Constine)